Dans un Québec où l’image fait foi de tout en politique et où les moindres faits et gestes des politiciens sont scrutés à la loupe par les médias, les politiciens n’ont d’autre choix que de bien paraître.
Lors de débats en chambre, lors d’une campagne électorale ou lors de rencontres avec les médias sur de nombreux enjeux, les risques de commettre une «gaffe politique» s’accentuent.
Une phrase malhabile, un mot de trop ou même un long silence et une absence de réponse peuvent causer du tort à ceux qui pratiquent la politique.
Alors que cette campagne électorale se termine, nous vous relatons dix gaffes politiques commises depuis 1995.
- «L’argent et les votes ethniques»
- L’empoignade Chrétien - Clennett
- Le bonnet de Gilles Duceppe
- Un silence de 16 secondes
- La déclaration de Parizeau revient sur le tapis
- L’épineuse question du bilinguisme
- Écart de conduite du premier ministre
- «Des crosseurs professionnels»
- Norman MacMillan insulte Sylvie Roy
- Une corde dans les cellules d’assassins